Madame Claudette Boulet
Déjà un an est passé depuis le jour où tu partais pour le voyage sans retour. Il y a des jours où la douleur est très profonde, où ta chaleur et ta gaieté me manque beaucoup. Il est bon de savoir que tu continues de veiller sur moi et les enfants. Nous t’aimons si fort, tu sais. En attendant de te revoir, profite du repos éternel que tu as tant mérité.
Les familles Therrien et Boulet
Déjà un an est passé depuis le jour où tu partais pour le voyage sans retour. Il y a des jours où la douleur est très profonde, où ta chaleur et ta gaieté me manque beaucoup. Il est bon de savoir que tu continues de veiller sur moi et les enfants. Nous t’aimons si fort, tu sais. En attendant de te revoir, profite du repos éternel que tu as tant mérité.
Les familles Therrien et Boulet