15 avril 2024
Prendre le nord et La Marée Noire pour 2021
Les interprètes Geneviève Robitaille et Marie-Claude Michaud dans le court-métrage la Marée Noire. (Crédit photo: Sébastien Veilleux)
Fleuve|Espace Danse sortira cet automne deux œuvres intitulées Prendre le nord et La Marée Noire. Prendre le nord sera sous le thème de la migration des oies blanches et La Marée Noire présentera des images prises sur le fleuve Saint-Laurent en hiver. La vidéo-danse Prendre le nord a été tournée lors de l’été 2019 avec une équipe de tournage complète, ainsi que 12 interprètes professionnels. «On est en train de sortir un film qui s’appelle Prendre le Nord, qui est sur la migration des oies blanches et ça s’enligne pour être bien aussi. On a prolongé la durée du film. On est rendu à 20 minutes en danse. Je pense que ça va être un beau produit qui va sortir au plus tard à l’automne», explique la réalisatrice Chantale Caron, aussi directrice artistique de Fleuve Espace danse et fondatrice de l’École de danse Chantal Caron. Prendre le nord présente aussi l’importance de l’égalité entre les deux sexes. Pour Chantale Caron, la condition de la femme reste une grande source d’inspiration. «Dans Prendre le nord, il y a des filles qui transportent des garçons sur leur dos et ce sont des gars qui sont musclés, qui sont grands. Pour moi, ça a toujours été une préoccupation que les deux sexes soient égaux et qu’il n’y ait pas de différence. Ce que j’aime, c’est de montrer la complémentarité», affirme-t-elle. La Marée Noire Marée Noire a été filmée sur le Fleuve durant l’hiver en compagnie de Croisières Lachance et de deux danseuses. Mme Caron souhaite, avec cette vidéo, mettre en valeur le patrimoine de la région. «On va commencer le montage à la fin de l’été, un film qui va s’appeler la Marée Noire. C’est vraiment un autre coup de cœur de retourner sur les glaces, j’adore ça. Il y a un peu de risques, il y a du défi, il y aussi le fait d’être en harmonie avec la nature, d’écouter ce qu’elle a à nous dire. Ça va sortir en automne ça aussi», mentionne Mme Caron.
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