24 avril 2024

Élection partielle à L’Islet: Jean-Yves Picard mise sur respect et la transparence

Respect, transparence et équité, telles sont les trois valeurs que M. Jean-Yves Picard entend défendre au conseil municipal de L’Islet s’il est élu le 29 septembre lors de l’élection partielle qui l’oppose à M. Jean-Edmond Caouette pour l’obtention du siège #1. Cédant à la demande de plusieurs citoyens, M. Picard a finalement décidé de faire le saut afin de favoriser le développement de sa communauté. «À ma première assemblée comme conseiller, si je suis élu, je vais expliquer les principes qui vont guider ma gestion. C’est non négociable» a-t-il lancé quand nous l’avons rencontré parce qu’il sait très bien que l’atmosphère est plutôt lourd au conseil municipal. «J’entends bien implanter le respect entre les élus, avec les employés et les citoyens, quitte à recourir à la commission des Affaires municipales s’il le faut. Quant à la gestion, elle doit être transparente. Et l’équité doit prévaloir envers tous» précise-t-il. M. Picard veut que les citoyens bénéficient d’une meilleure écoute de la part de leurs conseillers, se disant prêts à y consacrer quelques heures par semaine pour rencontrer ses commettants. Le candidat au siège #1 estime aussi que les employés ont le droit de travailler dans un climat sain: «Nous avons un directeur général et la tâche de gérer le personnel lui appartient. Quand tout le monde s’en mêle, le climat devient malsain» ajoute-t-il. «Je veux être à l’écoute des préoccupations des citoyens, respectueux de leurcapacité financière et soucieux de favoriser un climat serein au sein du conseil pour assurer le développement optimal de L’Islet» conclut-il. Avocat de formation et diplômé de l’École nationale d’administration publique, M. Picard a oeuvré en droit criminel, corporatif et des relations de travail. Au cours des 20 dernières années, il a occupé un poste gestionnaire au ministère de la Justice dans différentes régions du Québec et au ministère de la Sécurité publique (services correctionnels). Il travaille aujourd’hui à temps partiel au Palais de justice de Montmagny.