02 décembre 2024

Le premier ministre participe aussi au lancement de la campagne de Simon Laboissonnière

Après avoir passé la journée du mercredi 29 août dans la région pour appuyer Simon Laboissonnière, le premier ministre Philippe Couillard est demeuré à Montmagny jusqu’en soirée afin de participer au lancement officiel de la campagne de son jeune candidat sur la Côte-du-Sud. En présence de quelques dizaines de convertis réunis au local électoral sur la Saint-Jean-Baptiste, le chef et le candidat ont martelé le même message: le Parti libéral du Québec est le seul qui représente les régions.

Michel Chassé

«Ici, nous avons une longue tradition libérale. Peu importe d’où vous venez dans le comté, c’est toujours le Parti libéral qui a le mieux défendu vos intérêts. Les libéraux, nous avons la réputation d’être des travaillants; même nos adversaires le disent. Je demande donc votre aide pour élire un député libéral en Côte-du-Sud le 1er octobre» de lancer Simon Laboissonnière sous les applaudissements des personnes présentes.

M. Couillard a repris quelques thèmes qu’il avait abordés en après-midi avec les journalistes, rappelant la pénurie de main-d’oeuvre et réitérant son appui inconditionnel à la gestion de l’offre: «La voix des agriculteurs du Québec, des producteurs laitiers du Québec, elle sort de la bouche du premier ministre et de son gouvernement. Je n’accepterai pas de compromis à ce sujet et je demande aux Québécois de rester unis autour de nos agriculteurs et de nos producteurs laitiers».

M. Couillard a souligné la venue de plusieurs jeunes candidats à la cause du Parti libéral, dont Simon Laboissonnière qui, à 29 ans, compte déjà douze ans d’expérience en politique (à 20 ans, il devenait conseiller municipal à Saint-Pascal): «Au Parti libéral, nous savons comment concilier expérience et jeunesse» de préciser le premier ministre.

Ce dernier a aussi mis en valeur le redressement des finances publiques effectué depuis 2014 par son gouvernement: «Si nous pouvons parler aujourd’hui d’économie, de santé, d’éducation, de qualité de vie, c’est parce que nous nous sommes donné les moyens de le faire. Le reste du Canada, qui nous considérait comme dernier de classe, nous regarde maintenant avec envie. Nous avons retrouvé la liberté de choix et nous allons privilégier la qualité de vie» de conclure le chef libéral.