Sébastien et Marie-Noël Vaillancourt, père et fille propriétaires du Vignoble du Faubourg à Saint-Jean-Port-Joli, accueilleront plus d’une quarantaine de bénévoles le samedi 26 septembre pour participer aux traditionnelles vendanges. Les cueilleurs viennent de partout au Québec pour récolter le raisin: «Les gens de la place s’impliquent de plus en plus» précise M. Vaillancourt qui offrira le dîner et le souper, bière et vin à volonté, aux braves qui travailleront de 9h à 16h. Les personnes intéressées doivent s’inscrire une semaine avant l’événement au 418-598-6121 ou à info@vignobledufaubourg.com. Toutefois, les propriétaires débuteront la cueillette quelques avant le 26 septembre, car il serait impossible de tout récolter en une seule journée, même avec une arée de bénévoles. Invitées Le Vignoble du Faubourg attend deux invitées de marque pour ses vendanges, Mmes Nalalie Richard, qui se trouvera sur place le 26 septembre, et Karyne Duplessis Piché, qui passera pendant la semaine. Auteure des livres de la collection 30 Recettes en 30 Minutes, «Cuisinez santé pour le plaisir» et «Cuisinez avec les herbes pour vos enfants», Mme Richard, cuisinière gastronome, multiplie les rencontres inspirantes avec des vignerons qui attisent sa curiosité et sa passion pour le merveilleux monde du vin. Cette sommelière avertie veut démocratiser le vin et rendre les notions de dégustation accessibles à tous.
Mme Duplessis Piché écrit sur le vin depuis 2007, entre autres dans La Presse depuis 2011. Elle a rédigé plus de 500 articles sur le vin, animé des vidéos, notamment Le jeu de la bouteille et Le combat des vins sur lapresse.ca. Elle est aussi chroniqueuse pour le magazine et l'émission Ricardo. Elle a aussi fait partie des choix du magazine Cellier en 2012 pour représenter la nouvelle génération des femmes influentes dans le milieu du vin au Québec. Enfin, elle a produit une carte des vignobles du Québec. Été record Profitant de la vague de Québécois qui ont choisi de voyager dans leur province, le Vignoble du Faubourg a épuisé ses réserves: «Il ne reste que quelques bouteilles» de conclure M. Vaillancourt.