La Coop La Paix de Saint-Jean-Port-Joli n’a pas connu de rénovations majeures depuis plusieurs années, selon le directeur général Keven Lacombe. C’est pourquoi plus de 5 M$ seront nécessaires afin de remettre à neuf plusieurs installations dans l’épicerie.
Depuis quelques années, M. Lacombe témoigne de plusieurs problèmes et bris avec le système de réfrigération de l’épicerie. Ce dernier étant désuet, mais très important dans la conservation des aliments, il était impératif de le changer. Cela demanderait le changement de tous les réfrigérateurs dans le commerce, à l’exception de quelques-uns. Les têtes des comptoirs réfrigérés seront également remplacées.
Afin de changer le système de réfrigération, des tranchées doivent être creusées dans le plancher du magasin. Le revêtement de la surface sera donc également complété ainsi qu’une mise à niveau des halls de l’épicerie. Ces rénovations sont nécessaires pour la sécurité des gens et de l’équipe afin d’éviter les bris dans le futur. Aussi, cela va nous permettre de réaliser de bonnes économies d’énergie », explique M. Lacombe.
Les travaux ont débuté il y a environ un mois et s’effectueront par section afin de ne pas avoir à fermer les portes du magasin. M. Lacombe mentionne que tout devrait être achevé en février 2025.
Selon le directeur général, un montant avait été voté afin d’être distribué en ristournes aux membres sur une période de 10 ans il y a quelques années. Il resterait environ quatre ans à cette entente, donc les membres continueront de recevoir leur ristourne annuelle. Toutefois, après cette période, M. Lacombe explique qu’il sera alors probablement recommandé au conseil d’administration de terminer de payer ces travaux avant d’émettre une ristourne à nouveau.
Une chose qui donne un coup de main à l’équipe de la Coop La Paix : le commerce n’est pas à la recherche d’employés. Alors que certains magasins ont de la difficulté à trouver assez d’employés,
Keven Lacombe soutient qu’il ne s’agit pas d’un problème majeur pour lui en ce moment, principalement grâce à la rétention du personnel. « Les étudiants sont plus rares, mais les temps pleins compensent vraiment bien, car ceux qu’on engage restent vraiment longtemps », souligne M. Lacombe.