24 avril 2024
Réaliser son rêve: offrir des services de soutien psychosocial pour les adultes
« L’imprévu ne me fait pas peur, l’intensité des émotions des gens ne me fait pas peur. J’ai une bonne capacité à rentrer en relation aussi. Je voudrais offrir une touche différente pour la personne qui vient chercher ce dont elle a besoin », explique Isabelle Foccroulle, (Photo de courtoisie)
Isabelle Foccroulle offre maintenant ses services de consultation psychosociale auprès de la population des deux MRC. Située à Sainte-Louise, elle souhaite offrir du soutien adapté aux personnes qui vivent différentes étapes marquantes dans leur vie. Il s’agit pour elle d’un rêve qui peut enfin se réaliser. Mme Foccroulle fait partie de l’ordre des travailleurs sociaux du Québec. Elle détient un baccalauréat dans le métier, en plus d’une expérience de dix ans en intervention de crise dans les CLSC. Pour l’offre de ses services, elle vise la clientèle adulte uniquement. « Je suis ici dans la région depuis 2017, j’ai travaillé au Centre d’action bénévole de Montmagny-L’Islet et mon contrat prend fin, alors c’est une opportunité pour moi de débuter un nouveau projet», raconte-t-elle. La travailleuse sociale affirme qu’elle souhaite offrir du soutien à tous ceux qui en ont besoin. «Je touche à toutes les problématiques et je veux offrir du soutien pour ce qui est des questions personnelles, des remises en question, des adaptations, tout ce qui concerne les épreuves de la vie que les gens peuvent vivre», mentionne-t-elle. Elle donne comme exemple la rupture, le deuil, la perte ou le changement d’emploi, les problèmes relationnels, etc. Un rêve de toujours Mme Foccroulle souligne qu’elle vise depuis longtemps à offrir ses services à la population. « J’ai ce rêve depuis toujours. Je suis travailleuse sociale et je fais de l’intervention privée, parce que je veux vraiment offrir un suivi qui est adapté à la personne», affirme-telle. Les rendez-vous se font à son domicile dans la municipalité de SainteLouise, mais elle est prête à se déplacer. Elle a décidé de créer sa propre clinique puisqu’elle ne souhaite pas être prise dans des conventions collectives. Elle préfère donc travailler à son compte. « J’ai décidé de faire ça chez moi, parce que je trouvais ça trop contraignant pour devenir l’intervenante que j’avais envie d’être », explique Mme Foccroulle. Les demandes de service peuvent se faire par téléphone ou via son site Internet.
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