21 avril 2024

Michel Forget termine sa « plus belle campagne »

Le candidat du Parti Québécois en Côte-du-Sud, Michel Forget, dresse un bilan de sa campagne électorale en vue du jour du scrutin le 3 octobre prochain. Il rappelle aussi quelques engagements de son parti.  Il s’agissait de la troisième campagne électorale de M. Forget comme candidat du Parti Québécois. Il dit avoir beaucoup appris de ses expériences passées et avoir été en mesure de faire sa plus belle campagne à ce jour. Il se dit confiant d’obtenir un meilleur résultat lors du scrutin, car il a reçu beaucoup plus de réponses positives sur le terrain que dans les campagnes précédentes. Il explique que, cette fois-ci, beaucoup de gens ont pris le temps de l’aborder dans la rue ou de lui écrire sur les réseaux sociaux et que partout où il se rendait il était toujours bien accueilli. Il dit aussi avoir livré une très bonne performance lors du débat au Cégep de La Pocatière et avoir été en mesure de montrer qu’il maitrisait les enjeux de la région. Michel Forget mentionne que sa plus grande priorité serait de développer la région afin d’inverser la tendance à la baisse de la démographie dans la circonscription. Il rappelle que plusieurs dossiers n’auraient pas avancé à son avis dans les dernières années avec la CAQ, notamment le Complexe culturel et sportif, les horaires de faction des paramédics et la médecine vétérinaire à La Pocatière. M. Forget explique qu’il croit être la personne la mieux outillée pour représenter la population de Côte-du-Sud. Il dit suivre les dossiers importants dans la région depuis les 30 dernières années. Il croit aussi que ses nombreuses formations et implications sont pertinentes à un rôle de député. « Je pense que ça a paru lors du débat la passion que j’ai pour la région. Je suis un régionaliste avant tout. J’ai Côte-du-Sud tatouée sur le cœur et Côte-du-Sud passera toujours avant tout. On a été assez ignoré et non considéré, il faut que ça cesse. » Il rappelle aussi certains engagements de son parti qui, selon lui, pourrait avoir beaucoup d’impact dans la région :

  • Étendre les heures d’ouverture des blocs opératoires pour rattraper les retards liés au délestage;
  • Abolir le recours aux agences de placements privées et réintégrer les travailleurs;
  • Abolir le temps supplémentaire obligatoire (TSO);
  • Abolir les horaires de faction pour les ambulanciers
  • Financer les organismes communautaires à la mission (460 M $ par année);
  • Investir 3 G $ par année pour les soins à domicile;
  • Protéger les programmes particuliers des cégeps publics en région;
  • Diminuer l’analphabétisme en offrant une compensation financière pour les formations;
  • Instaurer la PasseClimat, un titre de transport annuel au coût de 365$ donnant un accès illimité à tous les moyens de transport en commun au Québec;
  • Rétablir la subvention de 8 000 $ à l’achat d’un véhicule électrique neuf;
  • Augmenter à 80 % des coûts d’achat et d’installation le soutien financier à la mise en place d’infrastructures de recharge dans les bâtiments existants;
  • Allocation de 1 200 $ pour les gens avec un revenu inférieur à 50 000 $ ou de 750 $ pour ceux avec un revenu entre 50 000 $ et 80 000 $.
  • Compléter le réseau des CPE pour avoir un enfant une place;
  • Créer 25 000 logements sociaux en 5 ans;
  • Cibler la régionalisation de 50 % des nouveaux arrivants;
  • Lever les barrières fiscales qui dissuadent les gens de 60 ans et plus à demeurer au travail.

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