26 avril 2024

Michel Forget dénonce quatre années perdues en Côte-du-Sud

Côte-du-Sud doit cesser de reculer et doit se mettre à avancer selon le candidat du Parti Québécois, Michel Forget. « Plusieurs dossiers n’ont pas avancé au cours des quatre dernières années, et pour certains, on assiste à un recul. Il y a quatre ans, la population du Kamouraska était très inquiète quant aux soins disponibles à l’hôpital Notre-Dame-de-Fatima de La Pocatière. Aujourd’hui, à cette inquiétude s’est ajoutée celle de la population de Montmagny qui est maintenant aussi inquiète pour son propre hôpital. Des investissements de 100 M$ ont été consentis dans une autre circonscription, sans jamais que le site de l’ITAQ de La Pocatière soit considéré. On parle ici de reculs et d’occasions manquées. J’ai le sentiment qu’il s’agit de quatre années perdues. C’est la principale motivation expliquant que je me présente, à nouveau, aux élections », déclare M. Forget. Durant la présente campagne, les thèmes que le candidat prévoit aborder sont l’environnement, l’inflation, les services publics, les régions, l’immigration et la qualité de vie des aînés. Aux dernières élections (2018), Michel Forget avait pris l’engagement d’assurer un leadership qui permettrait de développer une stratégie intégrée, à la grandeur de la circonscription, afin de s’attaquer à la problématique de la pénurie de la main-d’œuvre, et ce, de concert avec les différents intervenants. Cette problématique persiste et s’est complexifiée à son avis. De plus, les données du dernier recensement (2021) nous indiquaient récemment que la population décroit dans la circonscription, tandis qu’elle augmente au Québec. « Le rôle d’un député est, bien sûr, de représenter sa population. Mais il doit également assumer un leadership pour faire avancer sa circonscription. Si je suis élu, je m’engage à un vaste chantier afin d’inciter plus de personnes à venir vivre dans Côte-du-Sud. Le télétravail qui s’est développé durant la pandémie nous indique que c’est possible, mais cela ne se fera pas tout seul. Il faut que Côte-du-Sud cesse de reculer et se mette à avancer », mentionne Michel Forget.

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