Cet exercice ludique est une opportunité pour les automobilistes de se faire entendre et de forcer les élus à apporter des améliorations plus que nécessaires au réseau routier.
Nous évaluons le nombre de nids de poule, les infrastructures déficientes, les enjeux de sécurité pour tous les usagers, les intersections mal conçues, etc.’’, explique David Marcil, porte-parole du CAA-Québec.
Présentement, la CAA-Québec lance un appel aux citoyens afin de nominer les pires routes de leur secteur pour leur palmarès.
Pour une neuvième année, le CAA-Québec repart à la recherche des pires routes de la Belle Province. Cet exercice ludique est une belle occasion pour les automobilistes de se faire entendre et de forcer les élus à apporter des améliorations plus que nécessaires au réseau routier.
‘’Les critères afin de déterminer les pires routes sont multiples. Nous évaluons le nombre de nids de poule, les infrastructures déficientes, les enjeux de sécurité pour tous les usagers, les intersections mal conçues, etc.’’, explique David Marcil, porte-parole du CAA-Québec.
L’an dernier, deux routes s’étaient tristement illustrées pour leur piètre état dans Chaudière-Appalaches : la route 275 à
Saint-Zacharie et la rue Principale à Notre-Dame-Auxiliatrice-de-Buckland.
M. Marcil souligne qu’il y a des aspects positifs pour les citoyens découlant de ce palmarès ludique. ‘’Dans le passé, ce classement a poussé les élus à agir et à apporter les correctifs nécessaires. De plus, il est un outil pour les municipalités afin d’obtenir des subventions pour mettre à jour leurs infrastructures’’, déclare-t-il.
Présentement, le CAA-Québec lance un appel aux citoyens afin de nommer les pires routes de leur secteur pour leur palmarès. Tous ceux et celles qui sont intéressés à participer à l’exercice peuvent le faire au https://piresroutes.com/ d’ici le 23 avril 2024. (JST).